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Très bonne expertise je recommande.

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Projets de travaux : pourquoi vérifier la présence d’amiante
21 novembre 2025

Projets de travaux : pourquoi vérifier la présence d’amiante

Pourquoi l’amiante constitue un risque dans les bâtiments anciensL’amiante, interdit en France depuis 1997, demeure néanmoins courant dans de nombreux bâtiments construits avant cette date. Ce matériau a longtemps été utilisé dans le secteur du bâtiment pour ses propriétés isolantes et sa robustesse, mais il représente aujourd’hui un danger majeur pour la santé dès qu’il s’altère ou se trouve manipulé lors de travaux. Repérer sa présence avant d’engager un chantier est donc indispensable.Quels éléments peuvent contenir de l’amiante ?L’amiante a été intégré dans diverses parties des constructions, parfois de façon peu visible. Pour savoir où il pourrait se situer, il faut porter une attention particulière à certains matériaux ou équipements caractéristiques des édifices d’avant 1997.Isolations thermiques des tuyauteries et chaufferies : Les calorifugeages, souvent placés autour des canalisations ou dans les locaux techniques, étaient couramment composés d’éléments contenant de l’amiante. Ils se présentent généralement sous forme de gaines ou manchons blanchâtres ou gris, de fils ou bandes isolantes, et laissent parfois des résidus fibreux ou poudreux dans les recoins ou gaines de ventilation. Leur dégradation engendre une libération massive de fibres dangereuses.Toitures, façades et éléments extérieurs : Le fibrociment a connu un usage massif pour les plaques de toit, bardages, sous-faces, jardinières ou conduits. Ces surfaces arborent la plupart du temps un aspect gris, grenu et peuvent subir des détériorations visibles (fissures, mousse). Tant qu’ils restent intacts, ces matériaux représentent un risque très limité, mais toute intervention trop énergique (nettoyage, perçage) peut rendre la situation critique.Revêtements de sol et colles associées : Les dalles au format carré, principalement posées dans la seconde partie du XXe siècle, étaient souvent fabriquées à base de vinyle-amiante et collées avec un produit bitumineux également chargé en amiante. Leur aspect ne permet pas de confirmer leur composition à l’œil nu, mais elles arborent généralement des teintes sombres ou neutres.La présence ou non d’amiante ne peut être certaine sans une analyse spécifique, en particulier pour les revêtements de sol ou certaines colles.L’importance du diagnostic amiante avant début des travauxPour tout bâtiment dont le permis de construire date d’avant juillet 1997, il est impératif de faire réaliser un diagnostic amiante en amont de toute opération de rénovation ou lors de la mise en vente. Cet examen doit être confié à un expert certifié, qui saura repérer les composants concernés, évaluer leur état et déterminer les mesures nécessaires (contrôle régulier, retrait sécurisé ou enfermement).Faire appel à un professionnel spécialisé permet non seulement de travailler dans le respect de la réglementation, mais surtout de protéger la santé des occupants, des artisans ou de futurs acquéreurs.Conclusion : sécuriser son projet grâce au diagnosticAvant de lancer des travaux dans un bâtiment ancien, il est indispensable de procéder à la vérification de la présence éventuelle d’amiante. Prévenir ce risque, c’est anticiper les éventuels dangers pour tous, garantir la conformité de son chantier et rassurer chaque intervenant. Un diagnostic adapté, mené par un expert, est la clé pour faire avancer son projet en toute tranquillité et sécurité.

Le Permis de Louer : Qu’est-ce que c’est ?
Publié le 24 Octobre 2025

Le Permis de Louer : Qu’est-ce que c’est ?

Le « permis de louer » est une mesure instaurée par la loi ALUR pour lutter contre l’habitat indigne et améliorer la qualité du parc locatif privé. Il impose aux propriétaires bailleurs d’obtenir une autorisation préalable auprès de la commune avant de mettre leur bien en location dans certaines zones déterminées.Pourquoi ce dispositif ?De nombreux logements proposés à la location ne respectent pas toujours les normes de sécurité, de salubrité ou de décence. Pour répondre à cette problématique, le permis de louer permet aux collectivités locales d’effectuer un contrôle en amont et de protéger les futurs locataires.Concrètement, comment ça fonctionne ?Le propriétaire souhaitant louer un bien immobilier dans une commune concernée doit :Déposer une demande d’autorisation à la mairie avant toute mise en location (ou lors du changement de locataire).Attendre la délivrance de l’autorisation pour pouvoir signer le bail et remettre les clés.En cas de refus, effectuer, le cas échéant, des travaux de mise en conformité exigés par la mairie.En cas de location sans permis ou malgré un refus, le propriétaire s’expose à des sanctions administratives pouvant aller jusqu’à 15 000 € d’amende.Les avantages du permis de louerProtection des locatairesLutte contre les marchands de sommeilValorisation du patrimoine immobilier localLes communes concernées en Auvergne-Rhône-AlpesDans la région Auvergne-Rhône-Alpes, plusieurs communes sont soumises à ce dispositif. Voici la liste extraite du document source :Ain (01)NantuaAllier (03)CussetVichyArdèche (07)TeilTournon sur RhôneDrôme (26)Livron sur DrômeLoriol sur DrômeSaint VallierIsère (38)GrenobleSaint Clair de la TourSaint MarcellinTour du PinVienneVoironLoire (42)Boën sur LignonRégnyRiorgesRoanneSaint Germain LavalPuy de Dôme (63)BillomChâteldonCourpièreMonnerie le MontelPuy GuillaumeThiersRhône (69)Saint Laurent d'AgnySaint PriestSavoie (73)Challes les EauxChambéryAvant toute démarche de location dans l’une de ces villes, il est donc impératif de vous rapprocher de la mairie afin de connaître la procédure exacte d’obtention du permis de louer, ainsi que les éventuels formulaires à remplir.Le permis de louer incarne une démarche de responsabilité et de qualité au service de tous !

Réforme DPE 2026 : faut-il rénover son logement avant le changement
Publié le 23 Septembre 2025

Réforme DPE 2026 : faut-il rénover son logement avant le changement

Comprendre les ajustements prévus pour le DPE en 2026Dès le 1er janvier 2026, la méthode d’évaluation de la performance énergétique des logements va connaître des modifications significatives. Cette réforme concerne surtout le calcul du coefficient d’énergie primaire (CEP) de l’électricité, qui sera abaissé de 2,3 à 1,9. Ce changement, annoncé par les autorités gouvernementales pour juillet 2025, va impacter la notation de nombreux logements, en particulier ceux équipés d’un système de chauffage électrique.L’une des principales conséquences de cette nouvelle règle sera l’amélioration de la classe énergétique de plusieurs habitations. D’après les estimations, près de 850 000 biens pourraient ainsi sortir des catégories les plus défavorables (F et G). Certains appartements, notamment de petite taille, pourraient même gagner une à deux catégories sur leur étiquette énergétique. De plus, cette évolution devrait valoriser les biens concernés sur le marché immobilier.Pourquoi revoir la performance énergétique de son logement maintenant ?Il est judicieux de préparer dès aujourd’hui les projets en lien avec son logement pour plusieurs raisons. Actuellement, la réglementation issue de la loi Climat et Résilience impose une interdiction progressive à la location des logements les moins performants, classés F ou G au DPE. Par conséquent, ceux qui souhaitent vendre, louer ou simplement améliorer leur habitat devraient anticiper l’évolution à venir pour sécuriser leurs démarches.Si le classement énergétique d’un logement devait être rehaussé grâce à la réforme, la valeur du bien pourrait s’en retrouver augmentée. Ainsi, s’informer sur l’impact de la future méthode de calcul permet de mieux planifier d’éventuelles rénovations énergétiques ou de revoir sa stratégie immobilière.Comment anticiper l’effet de la réforme DPE ?Pour accompagner les propriétaires dans cette transition, des outils d’estimation sont accessibles gratuitement en ligne. Ils permettent à chacun de vérifier la classe énergétique potentielle de leur bien après la mise en place de la réforme. En quelques instants, il est possible d’avoir une vision réaliste de la future étiquette, et ainsi de savoir si le logement continuera d’être considéré comme une passoire thermique.Évaluer la future position de son logement sur l’échelle du DPEDéterminer la nécessité ou non d’engager des travaux de rénovationOptimiser la valorisation en cas de projet de vente ou de locationBénéficier de l’expertise de professionnelsPour un accompagnement sur-mesure, il est également possible de faire appel à des diagnostiqueurs certifiés. Leur mission consiste à effectuer des diagnostics immobiliers conformes à la réglementation, à prodiguer des conseils personnalisés pour booster la performance énergétique et à guider les propriétaires dans la valorisation de leur patrimoine.En résumé : faut-il rénover avant ou attendre la réforme DPE ?La nouvelle réglementation à venir a toutes les chances d’être favorable aux logements chauffés à l’électricité qui pourraient voir leur classement s’améliorer automatiquement. Cependant, l’anticipation reste le meilleur allié pour garantir la réussite d’un projet immobilier. Prendre en compte dès maintenant les impacts de la réforme, vérifier la future classe énergétique de son bien et solliciter l’avis d’experts permettent d’éclairer la décision à prendre : rénover ou attendre ? Il convient d’analyser sa situation au cas par cas, avec l’appui des nouveaux outils en ligne.L’impact de la réforme DPE 2026 s’annonce déterminant : pensez à simuler votre future étiquette énergétique et à vous entourer des meilleurs conseils pour orienter vos choix en toute sérénité.

Faut-il rénover son logement avant ou après la réforme du DPE électricité
Publié le 06 Août 2025

Faut-il rénover son logement avant ou après la réforme du DPE électricité

Une modification cruciale du DPE à l’horizon 2026À partir du 1er janvier 2026, le fameux coefficient de conversion utilisé dans le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) pour évaluer la consommation d’électricité va être abaissé de 2,3 à 1,9. Ce changement marque un tournant, voulant suivre la démarche fixée par l’Europe ainsi que l’évolution du mix énergétique national, désormais plus axé sur l’électricité d’origine renouvelable.Quelles répercussions pour les logements chauffés à l’électricité ?Concrètement, la nouvelle formule du DPE profitera directement aux habitations dotées d’un système de chauffage électrique. Beaucoup d’appartements et de maisons verront leur étiquette énergétique s’améliorer sans le moindre chantier. On estime qu’environ 850 000 biens ne seront plus classés comme passoires thermiques uniquement grâce à cette adaptation du mode de calcul.Cet avantage se fait pourtant sans transformation effective de la performance énergétique réelle. Par ailleurs, les alternatives comme les systèmes hybrides, chaudières au biogaz ou réseaux d’eau chaude risquent d’être marginalisées au profit de l’électricité, brouillant la vision de la transition énergétique.Reclassement automatique des logements électriques dans une meilleure catégorie.Pas d’impact sur la facture réelle d’énergie supportée par les habitants, puisque la modification concerne un paramètre technique du DPE.Réduction du nombre de passoires énergétiques sur le papier, mais sans amélioration tangible du confort ou de la consommation réelle.Quel impact sur les décisions des propriétaires bailleurs ?Pour de nombreux investisseurs et bailleurs, cette évolution risque de tout changer. Certains pourraient remettre à plus tard leurs travaux, misant sur la montée automatique de leur logement dans les classes énergétiques sans engager de dépenses. Cette attitude pourrait freiner la dynamique de rénovation initiée ces dernières années et ralentir la transformation durable du parc immobilier en France.Des artisans et professionnels inquiets pour la qualité de la rénovationLes spécialistes de la rénovation, artisans ou entreprises du bâtiment, regardent cette réforme avec scepticisme. Beaucoup craignent un effet pervers : un ralentissement des travaux lourds et performants, au détriment d’une amélioration réelle et durable de la performance énergétique. L’instabilité des critères réglementaires risque aussi de semer la confusion chez les ménages, qui peinent déjà à se repérer dans la jungle des réglementations immobilières.Désavantage pour les solutions performantes autres que l’électricité.Possibilité de voir la trajectoire de décarbonation nationale contrariée.Baisse de motivation des bénéficiaires à investir dans la rénovation globale.Une réglementation qui doit préserver sens et transparencePour garantir la confiance de tous les acteurs, la cohérence et la stabilité des règles en matière de DPE demeurent essentielles. Les outils réglementaires doivent offrir une lecture simple, fiable et transparente à la fois pour les particuliers et les professionnels du secteur.Avant de différer une rénovation en attendant le changement de DPE, il peut être pertinent de s’informer auprès d’experts et de réfléchir à long terme. Au-delà des labels et des classements, l’essentiel demeure d’offrir aux habitants un logement sain, économe et respectueux de l’environnement.La réforme du DPE pose donc une vraie question stratégique : mieux vaut-elle modifier la trajectoire de votre projet ? Pour beaucoup, la vigilance reste de mise, car l’essentiel est d’assurer une amélioration durable du confort et la valorisation pérenne de votre patrimoine immobilier.